Crise Financière

Forget credit and oil - the next crisis will be over food
Une crise s’annonce dans de nombreux secteurs de l’agriculture d’ici un an à un an et demi. Et ce notamment dans la culture du blé et du maïs.
L’exemple le plus commun de crise des commodités est celui du choc pétrolier de 1970, or durant cette période la famine touchait une encore plus grande proportion de la population mondiale qu’actuellement.

De ce fait, un tiers de la population mondiale vit actuellement dans des pays avec un contrôle des prix ou des restrictions aux exportations.
Causes: mauvaise allocation du capital et des ressources.
Les pays du golfe devraient investir dans l’agriculture aux USA tandis que ces derniers investiraient dans les installations pétrolières du Golfe.
En pratique les Américains transforment des céréales en carburant alors que les Arabes déstalinisent l’eau pour cultiver du blé en plein désert. Ce qui augmente l’inflation inutilement lors des crises!

D’où difficultés pour le world food programme qui ne parvient plus à tenir ses engagement vu l’augmentation des prix. Situation alarmante pour certains pays.

Precious Grains
Tanzanie: interdition des exportations de maïs due à une mauvaise récolte. Les prix au Kenya augmentent d’un tiers.
Alors que la production de nourriture s’est globalisée du fait des meilleurs transports et communication, les marchés de la nourriture sont loin d’être libres.
Grâce à ceux-ci des pays comme la Thailande et le Brésil se sont spécialisés dans les exportations des denrées agricoles. Le Brésil par exemple grâce à ses réserves d’eau et ses millions d’hectares de terres cultivables (parfois gagnées sur la forêt amazonienne) est devenu pour le sucre, le bœuf; le soja, le jus d’orange et le poulet ce qu’est la ...
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